Extrait d'un communiqué de presse. Le texte original est un peu elliptique, pas toujours bien écrit. Après avoir rassemblé de la documentation sur le sujet, j’ai fait en sorte de clarifier certains passages.
Arte Industria Paesaggio era stato presentato come un accordo di cooperazione la cui finalità principale era quella di sviluppare in una prospettiva europea il ruolo dell’arte visiva nell’estetica delle aree metropolitane, in relazione all’impatto estetico paesaggistico prodotto dalla modernizzazione.
A progetto ultimato possiamo affermare che in questi tre anni di cooperazione ciò è avvenuto ampiamente, grazie al contributo apportato dai singoli organizzatori, i quali non si sono limitati a fornire il loro apporto all’approfondimento delle tematiche, ma hanno in molti casi coinvolto settori importanti dei rispettivi contesti locali, fatto che ha permesso al progetto di amplificare il proprio impatto.
Le 5 realtà si sono integrate sviluppando e mettendo in sinergia le differenti specificità in modo da sviluppare nell’insieme un quadro che esalti la filosofia di fondo e le sue articolazioni (Vinci, Gent, Sittard) territoriali (Arken, Parigi). Questa articolazione si è intrecciata inoltre tra azioni per gli spazi all’esterno e la messa in evidenza di figure emblematiche sviluppando intrecci significativi nelle due dimensioni temporali del Rinascimento e dell’oggi. Così la città d Vinci ha interpretato aggiornandolo il tema rinascimentale della piazza d’artista con l’ingresso ad una struttura produttiva di conoscenza e di occupazione quale è oggi la struttura museo.
Mentre Het Domein e S.M.A.K. hanno teso a sviluppare la parte esplicitamente rivolta ad azioni d’artista volte a costruire prototipi d’azione verso il contesto industriale, Arken sviluppa l’idea dell’artista rinascimentale occidentale riportato ai giorni nostri e il Palais de Tokyo attraverso la mostra di Chen Zehn riflette sull’attitudine a rielaborare il portato rinascimentale che si concretizza nelle macchine prodotte dalla civiltà industriale occidentale ed il loro impatto sospeso tra fusione e distruzione di un mondo, quello della cultura cinese con il quale sempre più anche il nostro continente avrà da confrontarsi. Un azione coordinata nella quale ogni partner in accordo con gli altri ha sviluppato ciò che è stato più funzionale al progetto e più sensato rispetto alla propria storia. Anche questo ha fornito elementi di maggiore forza ed efficacia dell’azione ben evidenziati anche nel convegno finale tenutosi, fra tutti i partner, a Vinci a conclusione dell’installazione della Piazza di Vinci di Mimmo Paladino il 30 novembre 2004.
Arte Industria e Paesaggio (Art, Industrie et Paysage) a été présenté comme un accord de coopération dont le principal objectif était de développer à échelle européenne le rôle de l’art visuel dans l’esthétique des zones urbaines, compte tenu de l’impact de la modernisation sur le paysage contemporain.
Au terme des trois années de coopération qui ont mené à la réalisation du projet, nous pouvons affirmer que cet objectif a été largement atteint, grâce à la contribution de chacun des organisateurs. Ces derniers ont non seulement enrichi les débats thématiques, mais ils ont souvent impliqué des secteurs importants dans leur contexte local respectif, donnant ainsi un impact majeur au projet.
Les cinq musées des villes et pays concernés (l’Arken de Copenhague, le S.M.A.K de Gand, le Palais de Tokyo de Paris, l’Het Domein de Sittard, le Museo Leonardiano de Vinci) ont réussi à développer et à mettre en synergie leurs différentes spécificités pour élaborer un cadre conceptuel mettant en lumière les fondements philosophiques du projet et ses articulations locales. Dans chaque ville, des actions sur des espaces extérieurs sont entrées en résonance avec un travail d’individuation de figures emblématiques, créant la possibilité d’un va et vient significatif entre la période de la Renaissance et la contemporanéité. Ainsi, la ville de Vinci a revisité le thème Renaissance de la place d’artiste en l’annexant à un musée, aujourd’hui conçu comme une structure productive de connaissance et d’occupation.
Tandis que l’Het Domein et le S.M.A.K se sont consacrés aux interventions d’artistes visant à élaborer des prototypes d’actions vers le contexte industriel, l’Arken a développé l’idée de l’artiste occidental de la Renaissance transposé à notre époque. Avec l’exposition de Chen Zehn, le Palais de Tokyo invitait à une réflexion sur la possibilité de repenser l’héritage de la Renaissance, qui s’exprime à travers les machines de la civilisation industrielle et l’impact qu’elles produisent, oscillant entre fusion et destruction d’un monde – celui de la culture chinoise, à laquelle notre continent sera de plus en plus confronté. Ce fut une initiative bien coordonnée, pour laquelle chaque partenaire -en accord avec les autres - a développé ce qui était le plus pertinent pour le projet et le plus cohérent par rapport à sa propre histoire, conférant ainsi à l’action plus de force et d’efficacité. Tous ces éléments ont été bien illustrés lors du congrès final rassemblant tous les partenaires qui s’est tenu à Vinci le 30 novembre 2004, pour l’achèvement de l’installation de la «Piazza di Vinci» de Mimmo Paladino.