Il arrive trop souvent
que le texte
à traduire soit remis au traducteur dans le vide le plus
total !
Pensez à nous donner des indications sur la
finalité du
document : savoir pour qui on traduit (quel
public) et pour quoi (quelle utilisation du texte) oriente
naturellement les choix stylistiques du traducteur. De ces choix, nous
pouvons discuter avec vous : style, ton, registre de langue,
présentation, tout cela peut être
adapté à vos objectifs de communication.
Nous vous poserons probablement des questions en cours de
travail.
N’hésitez pas à nous faire passer tout
glossaire ou document interne (soumis à la
confidentialité) susceptible de nous éclairer sur
le contexte et le sujet du texte à traduire. De toute la
documentation que nous sommes amenés à mobiliser,
les éléments que vous nous apportez sont souvent
les plus précieux.
Parce qu’un travail de traduction sérieux
consiste à «démonter » le
texte original pour le «remonter » dans la langue
cible, nous sommes bien placés pour en déceler
les éventuelles ambiguïtés ou
maladresses. Auquel cas, nous nous efforcerons de clarifier le message
dans la version traduite tandis que vous en profiterez pour modifier
l’original s’il n’est pas encore parti
à l’impression !
Tout n’est pas forcément à traduire
dans un document : certains passages méritent
d’être résumés,
entièrement réadaptés, voire
supprimés parce qu’ils ne sont pas pertinents ou
«parlants » dans la culture cible. Que vous soyez
le créateur ou le destinataire du document, notre
rôle de médiateur
interculturel
est de vous
informer sur ce point afin de s’entendre sur
l’adaptation la plus efficace.
Pensez à programmer la phase
traduction suffisamment à l’avance afin de nous
laisser autant de temps que possible. Les traductions inexploitables
sont fréquemment dues à des délais
trop serrés, ce qui est d’autant plus regrettable
que le prix de la prestation est aussi fixé en fonction des
délais !